Politique
La dynamique est la même du fait du dessein islamique, un dessein planétaire. Par contre les modalités sont différentes de par la différence des contextes locaux.
Les passés coloniaux ont leur part. On pourrait croire que le passé colonial britannique d’apparence plus soft, était vierge de conséquences. N’oubliez pas que c’est sous le colonialisme britannique en Égypte que Hassan El Banna a créé et développé l’organisation des Frères Musulmans en vue de rétablir le Califat. Vous voyez où nous en sommes aujourd’hui. Dans les échanges commerciaux et culturels notamment franco-égyptiens, les « frères musulmans » se sont insérés dans l’égypto mania bien française, elle.
N’oubliez pas non plus comment la politique coloniale britannique a généré deux puissances nucléaires profondément ennemies : Inde et Pakistan.
Concernant la gravité des tensions nées de l’entrisme, vous noterez qu’après une phase naïve de complaisance et d’arrangements les Britanniques et les Scandinaves font machine arrière. Il y a d’abord eu les danois, puis la violence inouïe avec cette tuerie à plus 77 morts en Norvège en 2011. C’était une réaction nationaliste face au laisser-aller. Depuis, les Britanniques avec notamment le Brexit, manœuvrent pour ne plus dépendre des politiques migratoires européennes estimées laxistes.
Les passés coloniaux ont leur part. On pourrait croire que le passé colonial britannique d’apparence plus soft, était vierge de conséquences. N’oubliez pas que c’est sous le colonialisme britannique en Égypte que Hassan El Banna a créé et développé l’organisation des Frères Musulmans en vue de rétablir le Califat. Vous voyez où nous en sommes aujourd’hui. Dans les échanges commerciaux et culturels notamment franco-égyptiens, les « frères musulmans » se sont insérés dans l’égypto mania bien française, elle.
N’oubliez pas non plus comment la politique coloniale britannique a généré deux puissances nucléaires profondément ennemies : Inde et Pakistan.
Concernant la gravité des tensions nées de l’entrisme, vous noterez qu’après une phase naïve de complaisance et d’arrangements les Britanniques et les Scandinaves font machine arrière. Il y a d’abord eu les danois, puis la violence inouïe avec cette tuerie à plus 77 morts en Norvège en 2011. C’était une réaction nationaliste face au laisser-aller. Depuis, les Britanniques avec notamment le Brexit, manœuvrent pour ne plus dépendre des politiques migratoires européennes estimées laxistes.
Les Britanniques ont fini par réussir à stopper les défilés islamistes dans leurs rues et les prêches haineuses dans leurs parcs. Rappelez-vous, les prêcheurs islamistes, sans complexe, appelaient à la chute de la démocratie par… un holocauste !
Est-ce que les Britanniques vont réussir à inverser l’hyper communautarisme. C’est désormais installé à peu près partout.
La communautarisation dans les quartiers a bien sûr son pendant soft en entreprise.
Pour l’essayiste Hakim El Karoui, c’est le tour de la France : « La France sera peut-être le théâtre de la nouvelle génération djihadiste », voir entretien du 21 Mars 2021.
Est-ce que les Britanniques vont réussir à inverser l’hyper communautarisme. C’est désormais installé à peu près partout.
La communautarisation dans les quartiers a bien sûr son pendant soft en entreprise.
Pour l’essayiste Hakim El Karoui, c’est le tour de la France : « La France sera peut-être le théâtre de la nouvelle génération djihadiste », voir entretien du 21 Mars 2021.
En Europe, y-a-t-il une attitude commune des syndicats à propos de l’entrisme islamique en entreprise ?
Le constat est assez édifiant, le syndicalisme français a été innovateur notamment du côté de la CFDT. Ce syndicat au début des années 90 sous le leadership de Jean Kaspar a bouleversé le paysage syndical avec une approche pragmatique réformiste, toujours centré sur l’intérêt des salariés. Ces successeurs, en poursuivant sur cette même ligne, ont réussi à amener la CFDT au 1er rang français, devant la CGT.
Toujours est-il, en termes de syndicalisme, l’islamisation des secteurs d’activité a changé la donne. La « french touch » syndicale a pris une tournure particulière.
Après le syndicalisme réformateur, le syndicalisme dur, le syndicalisme « tous pourris », il y a en France le syndicalisme sectaire.
En effet, c’est la logique de « l’offre et de la demande », avec en toile de fond les expressions populaires : « la nature a horreur du vide », « qui part à la chasse perd sa place ».
D’un côté, nous avons des syndicats en perte de vitesse. Ils manquent de militants, de cotisants, de voix pour peser face au patronat.
De l’autre, nous avons des candidats qui trépignent pour parler d’égal à égal avec le patron, qui cherchent la faille pour entrer et dérouler leur propre projet.
Comment voulez-vous que les islamistes ratent cette occasion, cette aubaine. La faille est béante, ils s’y engouffrent.
Les syndicats sont pour la plupart devenus des vecteurs d’entrisme islamique.
Ils portent le projet politique de l’Islam dans les deux sphères, publique et privée. En s’installant dans les syndicats et les CSE, ils négocient avec le patron. Islamisé à outrance, ils dissuadent les représentants des salariées et de la direction. Ils finissent par évincer les femmes, une manière claire d’imposer les valeurs islamiques.
« Ils ont pris le syndicat majoritaire… on ne s’en sort plus… on ne sait plus quoi faire avec les douze cas que nous avons sur les bras… notre Comex ne veut pas voir, ils ont entre 35 et 45 ans… ce n’est pas une priorité pour eux… »
DRH d’un groupe TÉLÉCOM
Dans les secteurs industriels, de site en site les militants islamiques s’emparent des cellules notamment celles de la CGT. Les non-musulmans sont exfiltrés. Progressivement, les autres sites suivent le mouvement.
Au syndicalisme islamisé, s’ajoute désormais un facteur ethnique. En effet, le regroupement islamique par syndicat se fait par pays d’origine. Si pour cette entreprise, les « marocains » prennent FO et les « algériens » la CGT, les « turques » SUD, cela peut être une autre combinaison ailleurs.
Les dirigeants en sont à se demander s’il conviendrait d’organiser les services par affinité ethnique pour limiter les conflits.
Toujours est-il, en termes de syndicalisme, l’islamisation des secteurs d’activité a changé la donne. La « french touch » syndicale a pris une tournure particulière.
Après le syndicalisme réformateur, le syndicalisme dur, le syndicalisme « tous pourris », il y a en France le syndicalisme sectaire.
En effet, c’est la logique de « l’offre et de la demande », avec en toile de fond les expressions populaires : « la nature a horreur du vide », « qui part à la chasse perd sa place ».
D’un côté, nous avons des syndicats en perte de vitesse. Ils manquent de militants, de cotisants, de voix pour peser face au patronat.
De l’autre, nous avons des candidats qui trépignent pour parler d’égal à égal avec le patron, qui cherchent la faille pour entrer et dérouler leur propre projet.
Comment voulez-vous que les islamistes ratent cette occasion, cette aubaine. La faille est béante, ils s’y engouffrent.
Les syndicats sont pour la plupart devenus des vecteurs d’entrisme islamique.
Ils portent le projet politique de l’Islam dans les deux sphères, publique et privée. En s’installant dans les syndicats et les CSE, ils négocient avec le patron. Islamisé à outrance, ils dissuadent les représentants des salariées et de la direction. Ils finissent par évincer les femmes, une manière claire d’imposer les valeurs islamiques.
« Ils ont pris le syndicat majoritaire… on ne s’en sort plus… on ne sait plus quoi faire avec les douze cas que nous avons sur les bras… notre Comex ne veut pas voir, ils ont entre 35 et 45 ans… ce n’est pas une priorité pour eux… »
DRH d’un groupe TÉLÉCOM
Dans les secteurs industriels, de site en site les militants islamiques s’emparent des cellules notamment celles de la CGT. Les non-musulmans sont exfiltrés. Progressivement, les autres sites suivent le mouvement.
Au syndicalisme islamisé, s’ajoute désormais un facteur ethnique. En effet, le regroupement islamique par syndicat se fait par pays d’origine. Si pour cette entreprise, les « marocains » prennent FO et les « algériens » la CGT, les « turques » SUD, cela peut être une autre combinaison ailleurs.
Les dirigeants en sont à se demander s’il conviendrait d’organiser les services par affinité ethnique pour limiter les conflits.
Comment sortir du piège ?
Aux antipodes de la confrontation ou de l’arrangement avec l’islam militant, l’approche que je préconise est rationnelle et managériale.
À la suite d’une question posée et traitée en entreprise, je la présente en N° 29 à la Page 193 du livre,
Le tabou de l’entrisme islamique en entreprise
*** Guide du manager ***
La question posée concernait un site industriel de la chimie, je l’avais aussi entendu et traitée chez un grand transporteur : « Je ne reconnais plus les syndicats. Les négociations sont devenues plus dures, il y a un mélange de revendications : professionnelles et religieuses ! »
Ce guide désormais publié concerne tous les acteurs de l’entreprise, les dirigeants, les salariés, les syndicats. Cette voie remet au centre le bien commun où chacun trouve et développe un rôle qui le valorise.
Le guide apporte aux dirigeants, aux managers et aux DRH aux responsables d’un projet porté par un collectif en entreprise, en club de sport, en association :
Il sera utile à tous ceux quoi souhaitent anticiper et à ceux déjà confrontés.
Avant sa parution en librairie, le guide est disponible directement chez l’éditeur :
LE TABOU DE L’ENTRISME ISLAMIQUE EN ENTREPRISE (vapress.fr)
Adel Paul Boulad,
Consultant international Diversité & Performance
À la suite d’une question posée et traitée en entreprise, je la présente en N° 29 à la Page 193 du livre,
Le tabou de l’entrisme islamique en entreprise
*** Guide du manager ***
La question posée concernait un site industriel de la chimie, je l’avais aussi entendu et traitée chez un grand transporteur : « Je ne reconnais plus les syndicats. Les négociations sont devenues plus dures, il y a un mélange de revendications : professionnelles et religieuses ! »
Ce guide désormais publié concerne tous les acteurs de l’entreprise, les dirigeants, les salariés, les syndicats. Cette voie remet au centre le bien commun où chacun trouve et développe un rôle qui le valorise.
Le guide apporte aux dirigeants, aux managers et aux DRH aux responsables d’un projet porté par un collectif en entreprise, en club de sport, en association :
- Un quiz des connaissances utiles,
- Les clés pour dénouer le tabou qui l’entrave,
- Les codes pour décrypter l’entrisme et le distinguer des habituels bras de fer hiérarchiques. Il découvrira au passage les nombreuses dispenses qui facilitent les pratiques religieuses hors des sphères de travail ou de sport.
- Les outils de diagnostic des comportements islamiques et des comportements induits
- Les outils de mesure de l’impact économique de l’entrisme en termes de coûts, de performance, d’image et de climat social,
- Une approche managériale simple et respectueuse.
- Trente-six solutions à des situations concrètes embarrassantes ou à risque.
Il sera utile à tous ceux quoi souhaitent anticiper et à ceux déjà confrontés.
Avant sa parution en librairie, le guide est disponible directement chez l’éditeur :
LE TABOU DE L’ENTRISME ISLAMIQUE EN ENTREPRISE (vapress.fr)
Adel Paul Boulad,
Consultant international Diversité & Performance